Newsletters : pourquoi le B2B doit innover
B2B ne rime pas avec « boring » ! On ne le dira jamais assez : la communication trop lisse du B2B qui s’institutionnalise ne paie plus. Les professionnels sont avant tout des consommateurs comme les autres, et ont donc des exigences de plus en plus fortes concernant la communication et le storytelling des marques.
Les mailings les newsletters ne font pas exception à la règle : face à des taux d’ouverture qui plafonnent à 20 %, le B2B doit saisir son arme secrète – allier le fond à la forme. Pour sortir des idées reçues, voici un moodboard éclairé pour aller piocher les bonnes idées du B2C et les appliquer au B2B. Un peu décalé, mais effet « wow » assuré : c’est la toute première étape pour marquer les esprits de vos destinataires.
Avec un peu d’audace et d’imagination, on peut remplacer un rouge à lèvre par un avion en papier pour les pros de l’imprimerie, des vêtements par de bons outils pour assurer en cybersécurité, ou encore un chocolat par des tuyaux bien huilés pour les rois de l’industrie. La beauté du mailing est d’abord dans l’oeil de celui qui le conçoit.
6 bonnes idées de newsletters à piquer au B2C
L’industrie peut-elle communiquer autrement qu’avec les codes traditionnels du XXème siècle ? Oui ! Face à des marques fortes et audacieuses, les acteurs du B2B ont tout intérêt à très vite adapter leur communication. Les mailings, la PLV et les salons ne suffisent plus à faire rayonner le B2B : la notoriété passe nécessairement par le digital et la créativité… deux domaines où le B2C excelle déjà. A la clé, l’enjeu est celui du business.
C’est justement ces codes du B2C – digitaux, innovants, viraux – qu’il faut aller chercher. Des campagnes inspirationnelles qui bouleversent l’écosystème. L’audace d’un Nike qui prend pour égérie un sportif boycotté, ou d’un Carrefour qui transforme l’achat d’un légume en un acte social et engagé. Aujourd’hui, la communication passe par une quête de sens, un service, une esthétique – en somme, une valeur ajoutée forte est essentielle.
La communication « Getty Images », c’est fini. L’univers plastifié des visuels trop lisses où tout le monde sourit en réunion, la communication « catalogue produits » qui manque de valeurs et d’humanité : ces codes sont désormais obsolètes, pétris de contenus à date limite de consommation dépassée. Oui mais voilà, ce n’est pas parce que l’on parle de data centers que l’on ne peut pas le faire de manière attractive. Le B2B peut-il faire rêver ? Oui… À condition d’oser.